Chutier : Pau-Canfranc

Galerie de la ligne de Pau à Canfranc (Dernière M.A.J.  : 10.05.2016)

En cette page du blog il est répertorié toutes les images ayant trait au monde ferroviaire et en particulier à la ligne entre Pau et Canfranc. Certaines images ont aussi droit à une (courte) explication ou éventuelle remise en contexte. Pour les images les plus anciennes, la date ne sera pas nécessairement donnée, car inconnue. Toutes les images m'appartiennent, merci de citer l'auteur :) .

Astuce : cliquez sur les images pour les voir à leur format original!

Note : La mise à jour du 23 Avril est la dernière du chantier, la voie est finie, et la suite comportera davantage de photos de la signalisation que de la voie. Je vous recommande le site du CRELOC pour plus de photos et les photos des rencontres officielles, dont la majorité sont prises par Gérard Lopez (http://creloc.intermodalite.com/dossiers/travaux_Oloron-Bedous/travaux_Oloron-Bedous_2016.htm , on trouve d'autres images sur leur fil Facebook)

Attention, de nombreuses mises à jour auront lieu et l'ordre des images n'est pas forcément logique !

 









[Images du 23 Avril, la der des ders qui n'est finalement pas la dernière]








[Images du 23 Avril, partie 1]

Pédale d'activation de passage à niveau, de type moderne (détail). Pédale d'activation du PN 59 coté Oloron, environ 611 mètres avant celui-ci (un train devant activer la pédale de fermeture du passage à niveau trente secondes avant son passage signifie que le train roulerait à 73 km/h, ce qui définirait une vitesse-limite de 70 km/h, avec une passage après environ 27 secondes à vitesse +15%, soit 80.8 km/h).

Quai de Bedous.

(Ancienne) gare de Bedous, vu depuis un pont routier, avec la disposition telle qu'elle sera à partir de la réouverture.
Tête nord du Tunnel d'Araou.

Courbe et contre-courbe du tunnel d'Araou.

Sortie nord du tunnel d'Araou, vue depuis l'intérieur.

Sortie sud du tunnel d'Araou, vue de l'intérieur.

Km. 274.2, tête sud du tunnel d'Araou.
Les bornes hectométriques ont été posées et sont de même forme que celles qui devaient être présentes 31 ans auparavant, quand la ligne avait fermé.

Passage à niveau 59, reconstruit. Le mât à gauche hébergera un TIV (tableau d'indication de vitesse) 30.


Gare de Bedous, la bourreuse de TSO et la régaleuse sont garées devant le passage à niveau 59, un matin de ce mois d'avril.

 

  [Images du 21.03.2016]
 Tunnel d'Araou - Les voies sont désormais posées de façon définitive (en long rail soudé) dans le tunnel, les rails temporaires sont stockés au PN 59.

Entrée nord du Tunnel d'Araou

Heurtoir neuf pour la gare de Bedous (pour la voie en impasse...)
Fin de la ligne Oloron-Bedous, le heurtoir (provisoire ?) de fin de ligne sera situé au niveau du piquet rose, juste après un ponceau, au PK 275,5 (à 50 mètres près)
Aménagement de la halte de Bedous ; l'ancien poulailler et ex-toilettes de la gare (les locataires de la gare ayant été expulsés en février... j'en reparlerai dans l'article final de la voie ferrée Oloron-Bedous) a été vidé et va être réaménagé, sans doute comme abri à vélos. On note aussi la chape pour poser un de ces fameux "abris" qu'on laisse aux petites gares, composés de plaques de métal trouées de partout, afin de laisser passer la pluie et le vent... comme ceux des gares de Buzy, Gan, etc.

La gare de Bedous vue du Sud.

L'aiguille de Bedous et l'ancienne aiguille d'entrée de Bedous (ex-aiguille 11, en attente de dépose, au premier plan).

Coupons de voie posés sur les passages à niveau (ils portent encore les traces des trains de chantiers qui les ont empruntés). Gare de Bedous.

Fin de la section où la voie est posée, km 274.890, juste derrière le photographe se situe le PN 60




Passage à niveau n°59



[Images du 28/02/16]
 Entrée nord du tunnel du Mail de Couret, vu depuis la RN134
 Le train de chantier, vu depuis la RN134, à environ 2500 mètres de la gare.
 Courbe précédant la galerie de Clavère, où la RN134 passe au-dessus de la voie ferrée, cette galerie est suivie d'un tunnel et d'une autre galerie sur peu de distance.
 Endroit où s'est arrêté la pose de traverses pour cette fin de semaine.
 Poutre chargée de la pose de traverses.
 Train du chantier, qui semble plongé dans un calme sommeil...
Vue depuis le PN 58.
 Entrée nord du Tunnel d'Araou.


 Sortie sud du Tunnel d'Araou. Noter les rails provisoires posés, sans avoir été raccordée ; il n'y a pas d'éclisse.
  Sortie sud du Tunnel d'Araou.


 Entrée sud du tunnel d'Araou.


 Panneaux lumineux neufs pour la gare d'Oloron ; le signal au premier plan sera un carré qui permettra aux trains de partir en direction de Bedous, il est muni de de la voie libre, du carré, et éventuellement du sémaphore. Celui au deuxième plan est destiné à remplacer deux signaux mécaniques qui précèdent la gare d'Oloron que l'on croise quand l'on vient de Pau ; un disque (qui ordonne l'arrêt du train au premier appareil de voie ou poste d'aiguillage rencontré) et un avertissement fixe (qui signifie l'arrêt aux trains à la gare suivante sur les lignes à voie unique, ou avertit que le prochain signal sera fermé et ordonnera l'arrêt, la marche prudente ou la manœuvre). Ce signal ne possède pas d'indication de voie libre, car l'arrêt à Oloron sera obligatoire, et a été posé depuis (image prise le 15 février) sans être mis en service.
 Gare d'Oloron, avec ses quais rénovés.
[Images du 27 Décembre]
 Ceci est une attache Pandrol fixée sur une voie en béton (sur un pont au niveau de Sarrance). Ce type de fixation est habituellement l'apanage des grandes lignes où les voies sont posées par des suites rapides, mais est exceptionnellement utilisé sur des lignes secondaires où des ouvrages d'art ne permettent pas la pose de traverses classiques (que ce soient les traverses en bois ou les traverses monoblocs ordinaires, du type M240 qui sont larges et lourdes).
Photos du chantier du passage à niveau 50, qui va bientôt se finir, avec plus de deux mois de retard !

Ci-dessous, des images d'ambiance entre Escot et Lurbe, dans le piémont de la Vallée d'Aspe.




Gare de Lurbe, une des locomotives du chantier, d'origine allemande.
Ceci est la courbe la plus serrée entre Oloron et Bedous, c'est la grande courbe de Lurbe, qui plus est en déblai.
[Images du 15 Décembre 2015]



Détail d'un cadenas d'une des armoires du PN 59.
Vue générale du PN 59, vers Oloron.
Ci-dessous sont les images de l'aiguille en attente de pose à Bedous.

Ci-dessous, images d'ambiance au cœur de l'automne entre les PN 59 et 60 de Bedous.

 

  [Images du 22 Septembre 2015]
Tunnel d'Araou, il ne manque plus que le ballast et la voie!

Engin de chantier servant à niveler les graviers, avec des lames pivotantes, il sera à corriger le niveau après le passage des rouleaux compresseurs.

Pont sur le Gabarret, près du PN 60 à Bedous.


Déviation du passage à niveau 60, qui traverse la voie ici, en coupant le remblai sur lequel la voie est située. Ce passage sera évidemment détruit dès que le passage à niveau sera remis en état. La déviation emprunte un chemin privé de SNCF-réseau qui traverse l'emprise de la gare de Bedous pour arriver dans le parking de la gare.

PN 60 sur la route départementale 237, barrée pour l'occasion.

[Images du 20 septembre 2015]

Gare de Sarrance. L'ancien pont-route, trop fragile, à été détruit et est remplacé par un pont préfabriqué en béton.

Sarrance, vers feu le PN 54 (un ancien PN piétons situé sur un chemin abandonné depuis des lustres), sur environ trois kilomètres (de la gare de Sarrance au PN 51) le ballast d'origine n'a pas été retiré (il l'est en partie, contrairement au reste de la voie ferrée où la voie à été terrassée et a même reçu une couche de graviers (actuellement du coté de Bedous du pont sur le Gabarret au PN 57 (exclus).

Un pont sur une rigole. Noter les trous pour les blochets qui ne sont pas alignés.

Tunnel des Fontaines d'Escot.

Pont d'Escot, km 268.1, vue depuis le Sud du viaduc

Chantier de la déviation du passage à niveau 50, vu depuis les emprises de la voie ferrée sur le rocher de Saint-Nicolas qui surplombe cet endroit.


Vue plus générale du chantier.

 

[Images du 2 août 2015]
2.08.2015, section entre le pont métallique d'Eysus (PN 40) et Bidos (PN 34) :

PN 35, en direction du PN 34, la voie est d'ores et déjà déposée et même ballastée.

Passage supérieur reconstruit, la voie repose temporairement sur des madriers, on peut voir des flaques les réservations pour les blochets ( la partie en béton d'une traverse, qui peut être d'un seul tenant sur les traverses monobloc comme celles qui sont posées sur Oloron-Bedous), ou en deux blochets comme le sont les traverses bibloc (premier plan). Ici, les traverses sont liées par le pont en béton armé. Ces réservations seront comblées par des attaches Pandrol comme on peut le voir sur une image du 27 Décembre 2015.


Partie du train de chantiers en charge de poser les traverses et la voie. Cette partie n'est pas munie de locomotive (celles-ci étant utilisées afin d'alimenter le chantier en traverses et de faire avancer le train au fur et à mesure de la pose), mais est constituée d'une potence automotrice qui se charge de poser les traverses en prenant appui sur des rails provisoires d'un gabarit large, afin de pouvoir passer par-dessus le train pour charger des traverses et les déposer sur la voie.

Vue de l'autre coté du convoi, où on peut apercevoir l'engin qui permet de poser les rails disposés sur les cotés (et ayant servi à poser les traverses) à leur emplacement définitif sur les traverses. Hors-champ se situe une pelleteuse munie d'un "râteau" permettant de disposer les traverses à leur emplacement définitif, celles-ci étant écartées de 30 cm les unes des autres.

Fin du chantier de pose de rails, à 200 m du PN 37.

Le type de rail qui est employé sur Oloron-Bedous est essentiellement composé de rails de 106 mètres d'un poids de 46 kg par mètre, qui est surtout moins cher et moins bonne qualité sue le rail ordinaire (souvent de 55 ou 60 kg/ mètre), fabriqué par TATA (marque indienne qui pense se séparer de cette usine...). Certains rails, soit en barres de neuf mètres soudées ou de 18 mètres, sont d'un poids de 55 kg / mètre, comme le sont les rails entre Pau et Oloron.

Au fond, la gare de Gurmençon.

Courbes et contre-courbes, ce qui participe aux charmes de ces lignes secondaires!


PN 39, fin de la zone "pré-ballastée".
Pont d'Eysus.







16.7.15 : Pont du Gave d'Aydius (Bedous, la rivière est aussi nommée le Gabarret) :



4.7.15 : Remplacement des rails du PN 58 (Bedous, sur l'ancienne RN 2134) : 
(Date à vérifier : )








Septembre 2014, début du chantier, matérialisé par ces drapeaux rouges.
Forges d'Abel, blocage d'aiguille version "fonderie à domicile"

Canfranc, verrouillage d'aiguille version "africaine"

Gare de Canfranc, 2014. Les trains FRET actuels sont assurés pas Continental Rail depuis.




PN 59, 2014.

Inondation du faisceau de la gare de Bedous, probablement en 2013 ou 2014.

Heurtoir d'Oloron. A ce jour, le heurtoir à "disparu" (il est actuellement utilisé sur la voie 1 avec un feu rouge pour éviter une circulation de TER sur le chantier de la voie d'Oloron à Bedous), ainsi que les poteaux de caténaire et la voie double-champignon et fait désormais place à une voie UIC (46kg/m) en LRS).







Signal d'avertissement en amont de la gare d'Oloron, au niveau du PN 33. Le signal manquant était l'avertissement fixe qui accompagne ce TIV.

Sortie du tunnel d'Oloron et maisonnette du PN33 à l'arrière-plan

A suivre...

* Note de bas de page : les appareils photos utilisés (et leurs objectifs) sont : 
  • Un Nikon Coolpix P1 de 2005 (2010- Novembre 2014), un compact sans mode manuel, donc pas génial (les seuls paramètres programmables sont la fermeture du diaphragme (de f/2.8 à f/8) et la sensibilité en ISO, anciennement ASA pour les possesseurs d'appareils argentiques (50 ISO à 400 ISO, capteur minuscule oblige, pas possible d'avoir plus de sensibilité), sans réglage manuel de la mise au point. 
  • Un Canon EOS 450D, de 2008, acheté en novembre 2014 (utilisé depuis Décembre 2014 sauf de la mise à jour du 28 Février à celle de fin Avril), avec au début le classique et très moyen 18-55 stabilisé, puis s'est ajouté un 70-300 (fermeture à f/4 à 70 mm - 5,6 à 300 mm à f /32)acheté cent euros, loin d'être le meilleur de sa catégorie, mais meilleur en piqué que le 18-55, et enfin le légendaire 50mm f/1.8 II (remplacé en mai 2015 par une version à moteur électronique), dont on ne pourra reprocher que la course trop courte de la bague de mise au point, et donc la sensibilité de la chose au pouillème de millimètre, mais pour un objectif d'excellente facture à cent euros, ce n'est pas grand chose. Le 450D est un réflexe d'entrée de gamme, doté du même capteur que le 1100D (qui a un mode vidéo, contrairement au 450D), qui comme ses prédécesseurs est limité à 1600 ISO. Bien que limité, il reste un excellent appareil photo, sa définition est correcte pour les standards actuels, et seuls les écrans qui affichent des images en 4K verront les limites de l'appareil. Les seuls problèmes que je lui reproche restent le manque de mode vidéo, et surtout la taille du boitier, qui reste trop petit pour mes mains, et son viseur optique trop petit pour être précis et demandant de passer en visée écran pour être précis.
  • Enfin, j'ai utilisé un Canon EOS 70D (mars-avril 2016), que j'ai emprunté, qui est bien plus récent que les deux autres appareils (2013, toujours en vente), qui comblent les lacunes du 450D. Il s'agit d'un réflex professionnel, que l'on peut trouver pour 700 euros neuf, qui est plus grand pour les mains, et qui est utilisable jusqu'à une sensibilité de 4000 ISO en couleurs, 8000 ISO en noir et blanc. (contre 25600 ISO pour un plein format de la même époque, tels que le 6D). Il ne sera pas un meilleur appareil dans les mains d'un débutant que le 450D ou le Nikon, mais sera plus pratique et confortable pour celui qui sait l'utiliser (c'est mon cas), car proposant plus d'options, un écran supérieur, un déclencheur silencieux (très pratique pour les spectacles), et surtout un viseur optique plus grand et lumineux (même si on en n'est pas au plein format). Parfois livré avec le 18-135 (f/3,5 - 5,6) stabilisé, celui-ci se révèle excellent pour la vidéo, même si je continue à préférer le 50mm en photographie, notamment à cause de la course trop longue de la bague de la mise au point électronique. Mais ça reste un appareil décevant, qui laisse trop le photographe dans sa zone de confort, et devient finalement un objet lassant
  • Pas la peine de dire que le prix de ces appareils sont différents, et aucun ne fera des bonnes photos de lui-même, car celui qui les fait, c'est le photographe, et ce au prix de beaucoup d'apprentissage technique et surtout, d'émotions (que ne reflète pas cette galerie, ou trop peu pour être de bonnes photos). 
J'espère que ça vous a plu !

1 commentaire:

  1. Merci pour les nombreuses belles images.
    A titre de comparaison, mon Blder 2011:

    https://goo.gl/photos/3GKQPbtGwxZMaZY98

    Christian

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